Collection Soumise. Fille De… (12/16)

Je suis de plus en plus chienne, j’ai des rapports réguliers avec trois amants maintenant que Paul m’a envoyé une carte bancaire d’une valeur de 10 000 €, étant rechargée régulièrement.
Pierre semble apprécier cette situation quand il l’apprend, il m’annonce même que je vais participer en tant que fille de… à un repas au palais ou celui que je suppute être mon vrai père travail pour la France.
C’est lui qui me donne la solution à ce que je cherche, je demande de m’isoler.

Dans sa salle de bains, je vais vers les lavabos, il y en a deux, sur l’un, je récupère sa brosse à cheveux, le personnel doit la nettoyer régulièrement, mais j’arrive à récupérer quelques cheveux blancs et un cheveu noir.
Dans mon sac, je récupère un des sachets en plastique, marqué "échantillon A" ou je les place.
Vous voyez où je veux en venir, un deuxième sachet B ou je coupe une mèche de mes cheveux, à oui, j’oubliais, je profite de ce que père et mère sont retenus avec l’homme que je viens de quitter pour rejoindre leur appartement et remplir le sachet C avec une brosse à dents, car père se coiffe avec un peigne ou je ne trouve aucun cheveu.
Avant d’aller chez mes vieux, je passe voir Paul profitant qu’il est seul.

• Demain, je passerai au ministère, à quelle heure, je ne voudrais pas te déranger.
• Tu as déjà envie que je te baise, ma petite salope, 12 heures, viens déjeuner, je te cuisinerais ma spécialité, les pieds-paquets.
• D’accord, j’aurai une requête à te faire.
• Accordé d’avance.

C’est là que je pars chez père et mère.

Le lendemain, j’arrive au ministère avec mes trois sachets mis dans une grande enveloppe kraft.

• Veux-tu manger, baiser ou m’exposer ta requête ?
• Commençons par elle, ce sera bref, suivant ta réponse, le reste sera à toi sinon je crois que j’aurais la migraine.
• Jessika t’a-t-on déjà dit que tu es une petite pute, une catin, en me proposant ta demande, comment tu la formules, je suis dans l’obligation de la réaliser.


• Normale, mon cher, j’ai décidé de lutter à armes égales avec vous, vous voulez les uns et les autres que je sois votre vide couille, j’adore l’être, mais sachez que je garderais toujours mon libre arbitre.
Dans cette enveloppe, il y a trois sachets avec différents objets, fait les analyser par un test ADN, que l’on me dise quelle corrélation il y a entre ces trois sachets.
• Prépare ton petit cul, Jessika, tu veux être ma vide couille et j’aime qu’une salope comme toi le soit.

Il décroche son téléphone.

• Inspecteur, comment allez-vous, je vous envoie mon assistant qui va vous remettre une enveloppe, à l’intérieur vous ferez analyser les trois échantillons par nos services, si vous avez besoin d’un juge, appelé Serge, on a déjà travaillé tous les trois, dits que c’est pour moi.
Attention, très discrètement, il s’agit d’une affaire très importante pouvant aboutir à un conflit mondial.
Bonne journée inspecteur, il va sans le dire que les résultats, vous me les apporterez personnellement au ministère.

Il raccroche, me fait un clin d’œil et sonne, un jeune homme entre prend, le paquet et quitte le bureau.
Quand Paul se retourne, je suis à poil, j’ai laissé tomber mes vêtements.

• Non, ma chérie, j’ai faim, nous baiserons après.
Je rigole, viens dans mes bras, ta vue me fait bander.

C’est sur un tapis certainement sorti des meilleures manufactures françaises que je me laisse tomber sur mes genoux présentant ma croupe au père de Mariane qui semble avoir disparu des écrans.

• Comment veux-tu te faire prendre ma belle ?
• Ou vous voulez, j’adore la levrette le reste, c’est votre envie.

Il choisit très vite et rentre dans mon œillet qui apprécie beaucoup d’être rempli, je suis la parfaite petite chienne, surtout quand il me donne de grand coup en me tenant par les hanches pour commencer, puis les seins ou mon amant s’accrochent les tirants à me les arracher.

Une nouvelle fois, je m’embrase, Pierre en me faisant découvrir l’amour m’a fait découvrir le sexe, à quatre pattes, une bite dans l’anus, c’est comme cela que je veux vivre jusqu’à ce que mon corps s’avachisse et que les hommes, voire les femmes, ne me remarquent plus.

• Hans ! Hans ! hans ! oui ! oui ! oui !

Ce sont les sons que mon amant prononce à chaque fois qu’il me pilonne, je suis en eau, ces ministères sont bien chauffés, je me laisse tomber, j’écarte mes cuisses de chaque côté des genoux de Paul, il vient sur moi et entre dans ma chatte.
Dès qu’il est en moi, je voudrais bien émettre des sons comme ceux qu’il prononçait en m’enculant, mais il me prend la bouche, j’accepte son baisé.
Paul fume le cigare et sa bouche est à la limite de m’indisposer, je tourne la tête pour lui échapper.

• Jessika, c’est une pute qui m’a défloré à Pigalle, tu sembles refuser de m’embrasser comme ces filles de joie qui réservaient leur bouche au sexe de leur client ou à la bouche de leur mac.
Pierre t’a-t-il interdit de donner ta bouche, te prend-il pour une pute, je vais aller lui dire deux mots.

Je vois toutes les ressources que je risque de perdre, aussi je fais contre fortune bon cœur et je lui redonne ma bouche, juste au moment où il éjacule et que mon plaisir déferle.

Ma vie suit son cours entre les uns et les autres, un jour je reçois une lettre très surprenante.

« Invitation pour l’inauguration de ma nouvelle galerie.
Avec l’adresse vers la Madeleine, signé Jennifer. »

Je suis étonnée, quand j’arrive dans la salle d'exposions d'œuvres d’une dénommées Jennifer, c'est noir de monde, je me fraye un chemin admirant les œuvres, principalement « Transformation » elle a le numéro 28.

• Permet que je te l’offre, si toutes mes toiles sont là, c’est grâce à toi et à mes deux amants.
• Mariane, c’est toi qui m’as envoyé cette invitation, j’ai failli ne pas venir, je ne connaissais pas de Jennifer.

• C’est mon nom de peintre, quand tu m’as abandonné et que quelque temps après, j’ai appris que le gouvernement avait été renversé grâce à la voix de mon père ayant trahi ses amis, notre rencontre en sortant de l’église m’a paru suspect.
J’étais peut-être ignorant côté sexe, mais la messe s’était mon domaine, je me suis rendu compte que tu avais tout fait pour que l’on se rencontre.
J’ai tellement aimé ce que Luc et Antoine m’ont fait que lorsqu’ils ont décidé de m’offrir un safari en Afrique, j’ai dit oui, je savais que je rentrais dans le monde des courtisanes comme toi, mais n'avais-je pas déjà franchi le pas en me faisant payer le manteau.
Je t’expliquerais bien les quelques turpitudes que j’ai faites en Afrique, mais nous aurons bien le temps ce soir, si tu es libre, je te garde, j’habite au-dessus de ma galerie, le tout offert par mes amants.
• Ils sont ici avec-toi ?
• Non, quand nous avons décidé de la date de l’ouverture, ils ignoraient que leurs femmes avaient prévues une soirée avec leurs s, ils ont un garçon et une fille née le même jour.
Si tu es libre avec les tiens, nous allons pouvoir passer la soirée chez moi, j’espérais que tu viendrais, j’ai follement envie de te sucer la chatte et te donner beaucoup de plaisirs.
• Avant que tu partes voir tes clients potentiels, je veux te dire que je suis la maîtresse de ton père.
• Je sais tout, quand je suis revenue d’Afrique, je suis allée à son ministère, il m’a dit que tu étais son amie, je sais même que tu as accepté d’aller à Megève dans notre hôtel, j’en possède la moitié depuis la mort de maman.
Continue à regarder mon travail, je te ferais livrer ton tableau à ton adresse.

Elle me quitte, passe vers une jeune femme assise derrière un bureau, je suis certaine que l’assurance que Mariane affiche, la chatte de la jeune fille ne doit pas lui être étrangère.
Je suis à deux pas du tableau quand elle passe près de moi, nos regards se croisant, j’ai mis une robe blanche et longue, j’ai follement envie de regarder si ma chatte ne coule pas laissant une tache dessus.

Elle prend un papier gommé rouge et le place à côté du numéro.

• Excusez, vous semblez travailler avec Mariane, pardon Jennifer !
• Oui, je gère sa galerie, je suis son employée.
• Comment vous appelez-vous ?
• Louana.
• Pouvez-vous me dire combien coûte le tableau numéro 29.
• Venez à mon bureau, je vais regarder le catalogue.
Il fait partie d’une série que Jennifer à faite en Afrique lors de son safari, c’est là que je l’ai rencontré, je travaillais comme assistante pour l’entreprise de voyage qui gérait les voitures qui emmenaient nos clients voire les animaux.
Je suis rentrée dans ses bagages.
50 000 €, c’est l’un des moins chers, voyez celui de l’autre côté du mur, il est vendu pour 120 000 €, êtes-vous intéressé ?

Je manque de lui dire que je vais demander à mes amants de venir m’en offrir un, je fais le tour de la salle, 35 tableaux accrochés, 12 points rouges y compris le grand hors de prix.

• Bonjour, je vous reconnais, vous êtes la jeune fille qui était à côté de nous chez vos parents, il y a quelques mois, j’étais avec Pierre mon mari, vous avez pris de l’importance, vous êtes la fille de notre première ministre !
• Oui, vous vous appelez Marie.
• Si l’on m’avait dit ce soir-là l’importance que prendrait votre mère et le poste qu’elle donnerait à mon mari, je ne l’aurais pas cru.
Je dois partir, pour une fois mon mari a décidé de m’amener au restaurant pour mon anniversaire, il serait inconvenant que je sois en retard.

Elle ouvre son sac et me tend un bristol.

• Voici mon adresse, Pierre part demain pour deux jours dans sa circonscription, venez prendre le thé à 16 heures…

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